« I really can’t praise this album highly enough. If the reader gets the feeling from the above review that I didn’t quite describe Salemi’s playing in enough detail, it is only because there is so much detail that it’s better to just listen and not analyze too much. Get it! »
(Lynn René Bayley, Artmusiclounge, about “Short Stories” IGLOO Records)
« On est très loin d’un jazz cérébral et hermétique […] Ce sont des mélodies qui accrochent tout de suite, sans tomber non plus dans la facilité. C’est délicat, ça swingue, tout en finesse […] absolument remarquable. »
(Xavier Vanbuggenhout, La Première)
« Het spel van Salemi is echter van zulk hoog niveau, zowel emotievol als speltechnisch, en de samenwerking tussen hem en de ritmesectie zo fijn, dat dit trio net zo gemakkelijk tussen al die vernieuwende Belgische bands internationaal grote indruk kan maken. »
(Dick Hovenga – WrittenInMusic)
« Ca fait du bien d’écouter un album de jazz contemporain qui ne cherche pas à tout prix des sonorités inouïes […] La musique est fraîche, joyeuse, dansante »
(Jean-Claude Vantroyen, Le Mad)
« Van begin tot einde zuiver akoestisch zonder electronics en toch klopte het plaatje. Respect! »
(Georges Tonla Briquet, Jazz’ Halo)
« … There’s nothing cryptic about his superb playing…»
(Jim Gilchrist, The Scotsman)
« Les compositions du leader sont toutes délectables. Non seulement, elles ont du caractère mais, ni démonstratives ni appliquées, elles sont aussi mémorables par leur côté mélodieux »
(Pierre Dulieu, Dragonjazz)
« Voici à coup sûr la belle surprise jazz de la rentrée […] Fragrances variées et complètement assumées […] qui révèle un doigté subtil et volubile à la fois »
(Jean-Pierre Goffin, Vers L’Avenir)
« Martin Salemi est un bel exemple de ce que peut être le jazz aujourd’hui: une musique qui se nourrit de toutes les musiques, libérée de ses carcans d’autrefois. »
(Laurent Graulus, Musiq3)
« Le jeu est soyeux et chaleureux. Entre la contrebasse qui bat le temps en s’offrant quelques libertés et la batterie qui susurre le tempo, la complicité est parfaite.“
(Jacques Prouvost – Jazzques)